Vous
Nom : N'ai pas. : )
Prénom : Antigone. PAS Anouilh ou Anti-gogol, je précise pour notre très cher Chat du comté de Cheschire. ><
Age : Bientôt quinze ans.
Localisation : Pariiiiiiiis, reine du monnnnndeuuuuuh...non, je ne suis pas patriotique. XD
Loisirs : Internet, comprenant les fics, les forums et les vidéos, les bouquins, écrire, glander, penser Shadock.
Série préférée : En fait, je fais partie de ces pauvres malheureux qui n'ont pas la télé...
Emplois : Lycéenne! Lycée powa! D'accord je viens d'y entrer, mais ça change rien!
Votre personnage
Nom : Karyû, soit dragon de feu en japonais.
Prénom : Himura, je sais pas ce que ça veut dire je l'ai pioché dans un manga. (<- fanatique des mangas)
Age : 16 ans depuis quelques jours.
Monde natal et nature : Humaine dans son monde, encore aucun contact avec Wonderland.
Description physique : Karyû est une jeune fille assez grande, environ 1m70. Elle a des cheveux roux vif qui lui arrivent au milieu du dos et qu'elle teint en noir ében et des yeux gris très clair qui semblent parfois argentés la nuit. Elle s'habille toujours en noir, avec une préférence pour le coton. Elle déteste les vêtements qui l'empêchent de bouger ou la gênent dans ses mouvements, et à cause de ça elle met souvent des shorts ou des mini-jupes, ainsi que des hauts courts et collants. Elle pratique le kendo depuis son plus jeune âge, et a ainsi développé son corps jusqu'à ce que ses muscles soient apparents. Après elle s'est un peu calmée, ce qui ne l'empêche pas d'avoir un entraînement draconnien. Elle relève ses cheveux parfois en chignon, parfois en ananas lorsqu'elle se bat, et de ce fait elle garde toujours des élastiques accrochés à ses poignets, ce qui lui a valu une réputation d'imbécile. Le reste du temps, elle préfère avoir les cheveux détachés. Elle garde son katana sur elle presque tout le temps, et elle est déjà allée plusieurs fois au commissariat à cause de ça. Elle déteste qu'on la fixe, et elle a la mauvaise habitude de regarder les gens dans les yeux jusqu'à ce qu'ils baissent le regard. Elle est ambidextre, mais préfère se servir de sa main gauche, ce qui valut quelques remontrances (au XIXè siècle, il fallait écrire de la main droite, qu'on soit droitier ou gaucher.) Elle est assez connue dans les clubs de kendo qu'elle fréquente grâce à sa grande maîtrise de son sabre chinois. Une autre spécialité, c'est que son chat (cf animal de compagnie) reste toujours assis sur son épaule droite, quoi qu'il se passe.
Description mentale : Karyû a un tempérament de feu. C'est-à-dire qu'elle est très agressive, renfermée sur elle-même, impitoyable et a une certaine tendance à la destruction. Dans tous les lycées et collèges où elle est allée, elle a réussit à regrouper quelques voyous sous son autorité et a provoquer des bagarres plus ou moins dangereuses et graves. Il semblerait même que durant l'une d'elles elle ait tué quelqu'un, mais personne n'en est sûre. Quiconque se retrouve dans son groupe est soumis à son autorité implacable et a son caractère et son comportement lunatique, et aucune rébellion n'est autorisée. Elle est assez intelligente, mais elle refuse de travailler pour autre chose que le kendo, ce qui lui donna une réputation de très mauvaise élève, à tel point qu'on l'envoya même chez un psy qu'elle faillit traumatiser. Elle se bat souvent avec ses profs, créé des batailles en classe et a la mauvaise manie d'insulter les personnes du directorat. Elle n'est jamais restée plus d'un an dans le même établissement et son record a été de changer cinq fois en onze mois, avant de ne plus venir du tout à l'école, sous prétexte qu'elle voulait des vacances plus longues. Pourtant elle n'a jamais redoublé. Elle déteste sa belle-mère et sa demi-soeur, qu'elle trouve nunuche et prend un malin plaisir à frapper. Elle déteste le contact des autres, quel que soit leur âge. Elle déteste être dominée et ne plus être maîtresse d'elle ou de son destin. Les seules choses qu'elle aime, c'est son sabre et son chat. Son passe-temps préféré est de provoquer des rixes de rues, où elle a parfois fait des blessés graves.
Passé : Karyû est née au Japon. Son père japonais et sa mère anglaise s’étaient rencontrés en tant qu’artistes, dans un salon mondial. Elle vécut normalement durant quatre ans, mais comme elle changeait souvent de villes voir même de pays elle ne se fit pas d’amis. Elle était en outre très réticente à établir le contact avec des adultes autres que ses parents. Puis ceux-ci divorcèrent. Sa mère, April, reçut sa garde. Elle retourna en Angleterre où elle essaya d’apprendre la peinture à sa fille, mais elle refusait d’écouter plus de quelques secondes. A cinq ans elle était omnubilée par tout ce qui touchait au Japon, pays de son père. Celui-ci finit par convaincre April de le laisser s’occuper de Karyû durant quelques mois. Au Japon, il lui proposa d’essayer un sport. Ils allèrent donc dans plusieurs écoles, mais peu de choses captivaient réellement son attention, juqu’à ce qu’il l’emmène dans une école de kendo. Elle se passionna pour les arts martiaux, mais le maître de kendo refusait d’apprendre à une fille à manier un sabre. Il accepta de la prendre à l’essai et elle se démena pour prouver qu’elle pouvait faire aussi bien qu’un homme. Après quelques discutions avec le père, le kendoka se laissa convaincre et accepta Karyû dans son cours, seulement deux mois plus tard elle devait retourner en Angleterre chez sa mère. Elle continua néanmoins à s’exercer au sabre, bien que sa mère essaye de lui sortire cette idée de la tête. Voyant que ça tenait à cœur à sa fille elle se résigna et sous sa demande insistante lui acheta un sabre chinois pour son anniversaire de six ans, qui tombait justement durant une exposition en Chine. Karyû n’était alors jamais allée à l’école, et cette perspective l’effrayait car l’année prochaine elle devait intégrer un établissement hautement renommé en Angleterre.
Sa mère avait décidé récemment de ne pas déménager trop souvent pour que sa fille ait une vie plus sédentaire, et cela impliquait parfois de faire des voyages de plusieurs jours. Pendant ce temps Karyû était gardée par une voisine. Un soir, celle-ci la réveilla et elle allèrent à l’hôpital : sa mère avait eu un accident ! La calèche avait brûlé et elle était dans un état critique. Une demi-heure après l’arrivée de sa fille, April était morte.
La petite fille fut alors envoyée chez son père. Celui-ci s’était remarié, avec une autre anglaise, et s’était définitivement installé en Angleterre, bien qu’il ait une vie très errantes comme beaucoup d’artistes. Anna, la belle-mère de Karyû, essaya de nouer quelques liens avec elle, mais chez cette femme il fallait que tout soit carré. Tout devait aller vite et bien, il fallait rester digne, noble si l’on voulait être reconnu, etc etc. Mais comme l’enfant refusait tout contact autre qu’avec son père, elle la prit immédiatement en grippe. Autre chose qu'elle ne supportait pas chez Karyû, c'était sa passion pour le combat. Elle détestait les poupées, les cerceaux, tous les jeux classiques de petites filles. Elle n’aimait pas non plus les robes ou jupes trop longues et saccageait ses vêtements et ses uniformes d’écoles pour les raccourcir ou en faire des pantalons, ce qui lui valut bien souvent des coups et des punitions. Et tous les jours Anna répétait à sa fille de ne pas prendre exemple sur sa demi-soeur, que c'état un monstre, un démon, une mauvaise fille. Cette demi-soeur, qui s'appelait Sophy, se faisait beaucoup plus facilement des liens avec les autres, si bien que dès qu'elles entraient dans une école, Karyû était accueillie comme un danger public. Petit à petit, elle finit par croire que c'était la vérité et décida de se conduire comme tel. Elle s'entraîna encore plus que d'habitude et se mit à se battre pour la moindre petite raison. Des gens plus faibles se rassemblèrent autour d'elle, et elle réussissait toujours à assoir son autorité. Au début ces voyous qui lui ‘’collaient au train’’ comme elle disait la dérangeaient, mais elle apprit bien vite que si elle voulait continuer de se battre il lui fallait le soutien de plusieurs personnes, elle l’avait appris en se faisant battre par des plus grands.
Elle se faisait souvent punir à l'école pour son manque de discipline (et aussi parce qu’elle massacrait tous ses uniformes) mais bien souvent elle rendait les coups à ses professeur, ce qui entraînait l'exclusion. Mais plus elle collait à sa réputation, plus celle-ci empirait, et plus Karyû se sentait malheureuse. Elle se promenait souvent seule, son sabre trop grand accroché à la taille ou dans sa main, pour découvrir la ville et savoir ou aller si elle voulait fuguer. Le changement permanent de lieu ne la dérangeait plus, car elle avait décidé qu'elle ne chercherait plus le contact des autres.
Un jour qu'elle se promenait un orage éclata. Elle courut s'abriter sous un porche pour attendre la fin de l'averse, mais elle buta dans un carton et s'étala dans le caniveau. Elle se retourna pour voir ce qui l'avait fait chuter et vit un chaton dans la caisse ramollie. Il était marron foncé, terne, sale. Son pelage était plaqué sur lui et il tremblotait. Ses grands yeux verts étaient tout tristes et apeurés. Elle fondit littéralement et le pris dans ses bras pour le ramener chez elle. Elle le sécha et le nourrit, mais quand sa belle-mère le vit, ce fut la catastrophe. Elle ordonna à Karyû de redéposer le chat. Elle refusa et s'enferma dans sa chambre. Elle y resta pendant trois jours, sans presque rien manger ni boire, jusqu'à ce qu'Anna cède. Elle appela alors son chat Kokoro, rêve, car peut-être que lui ajouterait un peu d’espoir dans sa vie. Kokoro l'adorait, et c'était un chat excessivement intelligent. Elle parvint même à lui faire faire des petits tours et à le promener sur son épaule. Ce n'était pas un chat particulièrement beau, sauf lorsqu'il était au soleil. Là il semblait saupoudré de milliers de paillettes d'or sur un fond brun, noir, roux et beige. Pour son malheur, Sophy vient à voir Kokoro au soleil. Aussitôt, elle exigea qu'il lui appartienne, ce qu'acceptèrent volontier ses parents, Karyû piqua une crise et frappa Sophy, ce qu'elle ne faisait jamais par peur qu'elle ne le dise à sa mère. Kokoro était SON chat! C'est ELLE qui l'avait récupéré, ELLE qui l'avait nourrit, ELLE ENCORE qui lui avait appris des choses, Kokoro resterait avec ELLE!
Ce fut sa première fugue. La ville était assez grande et elle n'avait encore que douze ans, donc elle erra dans les avenues fréquentées, rassurée par la présence de Kokoro sur son épaule. Elle revint le lendemain vers midi, avec la tête d'un zombie. Ses vêtement étaient déchirés, elle était sale. Mais lorsque Anna voulut approcher le chat, celui-ci la griffa méchamment à la main. A partir de là, il ne quitta plus jamais son épaules (sauf peut-être dans sa douche).
Après Karyû enchaîna les bagarres de rue, les entraînements, la martyrisation de sa demi-soeur et elle essaya d'enfreindre le plus de règles possibles. Tous les établissements privés la refusèrent et les établissements public essayaient de la garder le moins longtemps possible. Elle alla très souvent au poste et à quartoze ans elle avait déjà un casier judiciaire comme voleuse à la tire et fugueuse répétée.
Finalement, ils arrivèrent à Londres. Dès que les bagages furent défaits, Karyû partit faire le tour de la ville, avec évidemment son chat et son sabre.
Particularités : Pas grand chose. Peu impressionnable et bonne combattante, si ça compte.
Animal de compagnie : Kokoro. C'est un chat (au cas où vous auriez déjà oublié) écaille de tortue. Ces chats sont des anomalies très très rares, extrêmement beaux au soleil mais plus que normaux le reste du temps. Leurs couleurs principales sont le brun foncé, le beige et le roux. Parfois le noir. Ils semblent pourtant dorés au soleil. Ce sont aussi les chats les plus intelligents et les plus affectueux. Un chat écaille de tortue peut être dressé presque comme un chien et il a une mémoire de plusieurs mois (a contrario les chats normaux ne se souviennent pas au-delà de deux ou trois jours).
But / Objectif : se débarrasser de sa famille qui lui traîne dans les pattes.
Salut le Chat du comté! I am become! ^w^
EDIT : voilà, j'ai édité, j'espère que ça colle mieux à l'époque.