Moi
Prénom : Clément
Age : 17ans
Localisation : Manche, Normandie
Loisirs : Jeux de rôle, Jeux vidéo, Lecture, Ecriture.
Série préférée : FullMetal Alchemist
Emplois : Lycéen (TS)
Mon personnage Nom : Illion
Prénom : Nicolas
Age : 34 ans
Monde natal et nature : humain tout ce qu’il y a de plus normal
Description physique : (a venir)
Description mentale : Nicolas Illion est un homme particulièrement curieux dans tout les domaines de connaissance et d’art. Cette curiosité le pousse a approfondir tous les sujet sui sont a sa porté dans le but d’en comprendre tout les détail. Etant juriste, il a également pris l’habitude d’utiliser les connaissance acquise pour contourner les système et d’en tiré des avantage pour ces clients. Sa spécialité, plus que l’apprentissage, est l’analyse. Vis a vis des autres, il est le plus souvent amical, bien qu’il garde un minimum de distance tant qu’il n’a pas cerné le caractère et les objectif de ses interlocuteurs. Il faut donc du temps pour s’en faire un ami, et il ne vaut mieux pas essayer de lui caché trop de chose, car il adore analyser le comportement d’autrui pour en tiré des conclusions. Généralement, c’est un adepte des raisonnement logique, se basant sur des faits établis e jamais sur l’imaginaire. Cependant, depuis peu, il commence à admettre que certaine chose sont possible, tout en défiant la logique. Il reste pourtant absolument convaincu qu’absolument tout est logique, et même prévisible. On ne connais simplement pas tout les élément qui rentre en ligne de compte.
Passé : Né à Londres le 24 octobre 1854 d’un père de l’ancienne noblesse française émigrée en Angleterre en 1789 et d’une mère de la bourgeoisie britannique, le jeune Nicolas Illion fut élevé dans le luxe. En effet, son père, un banquier, était parvenu à amasser une fortune acceptable qui, associé à l’héritage de sa femme, formait un patrimoine financier important. Bien sur, on était loin du grand luxe dans lequel vivaient les Illion lorsque la famille possédait encore ses titres de noblesse, mais c’était amplement suffisant pour Nicolas.
Victoria Illion, sa mère, était depuis toujours fasciné par la culture française. Aussi lui enseigna-t-elle très tôt la lecture pour ensuite lui faire découvrir les écrits français. Vers l’âge de huit ans, elle lui présenta même un exemplaire de la première édition de l’encyclopédie, héritage de la famille de son mari. Nicolas, d’un naturelle très curieux, ne se fit pas prier et lu avec grand intérêt ces ouvrages. C’est donc sa mère qui fit se former une grande culture littéraire ainsi que l’idée que le savoir s’acquière avant tout par la lecture approfondie.
Le jour de ses dix ans, Nicolas Illion se vit offrir de son père une magnifique rapière. Celle-ci était entièrement en acier avec une poigné plein cuire, mais sur la garde venait s’enrouler de fin motif d’argent. Jamais il n’avait reçu en cadeau un objet aussi élégant. Pour couronner le tout, son père lui annonça qu’à partir de ce jour, il recevrait régulièrement des cours d’escrime, comme c’était la tradition. En effet, la rapière qu’il venait de recevoir avait appartenu à l’enfant qu’avais jadis été son père, ainsi qu’a son grand-père, et ainsi de suite. Bien sur, modernité oblige, les lames n’étaient plus a l’honneur, remplacé par les armes a feu, tellement plus pratique et létales. Pourtant, les Illion avait préféré garder les armes qui avaient un jour fait l’honneur de la famille. Ces longues heures d’escrime avec son père lui inculquèrent le sens de l’honneur et lui fournir une certaine précision dans tous ces gestes, mais elles provoquèrent également en lui une profonde aversion des armes à feu qui avaient banni les lames d’autrefois.
Quand Nicolas fut en âge d’accéder à l’université, il partit faire des études de droit à Oxford. Là-bas, il découvre l’éclectisme du monde auquel il n’a finalement jamais été vraiment confronté. En effet, il y fit bon nombre de rencontre, se forgeant de solides relations. Il fit la connaissance d’écrivains, de philosophes et de scientifiques, mais il découvrit aussi, dans les rues d’Oxford, certain coté sombre de l’humanité. C’est dans les bas-fonds de la ville universitaire que Nicolas entend parler pour la première fois parler de la prostitution, de l’opium ainsi que de la misère la plus totale. Ces visions de la misère humaine le poussèrent à s’investir d’autant plus dans ses études pour faire en sorte d’aider les gens de ce milieu grâce à sa notoriété, mais également pour être sur de ne jamais finir comme eux.
En 1880, a l’age de 26ans, Nicolas Illion fut admis au barreau de Londres au sein du cabinet d’avocat Arcis & co. Se révélant être un juriste d’exception et étant aidé par les ressources financières de ses parents, il devint l’actionnaire majoritaire de son cabinet a l’age de seulement 30ans, ce qui était particulièrement rare. Après avoir rebaptiser le cabinet Illion & co., il devint évidant pour lui qu’en devenant majoritaire, il avait également acquit une certaine liberté. En effet, il lui était dorénavant possible de n’accepter que les cas juridiques qui l’intéressait, sans que personne ne soit en mesure de lui imposer le moindre procès. Profitant de cette liberté, il passait beaucoup de temps à étudier les sciences, à se nourrir de roman et de poème et à s’entraîner à l’escrime.
L’année 1885 changea totalement la vie du jeune avocat. Dans un premier temps, son père lui annonça en mars qu’il lui avait organisé un mariage pour début juillet. Bien entendu, son père ne lui proposait pas de se marier, il lui ordonnait presque. Quand vint le jour des noces, les deux familles au grand complet se retrouvèrent au sein de la cathédrale Saint Paul. Là, les époux se rencontrèrent pour la première fois. Elle était resplendissante dans sa robe de soie blanche, sa chevelure doré à peine visible sous le voile immaculé qui lui dissimulait le visage. D’après ce que Nicolas voyait, elle approchait de très près la perfection physique, et il espérait de toute son âme que l’esprit de la belle soit aussi raffiné que ses courbes étaient généreuses. Lorsque les baisés furent échangés, le cœur des deux nouveaux mariés s’emballèrent et il comprirent alors que leurs parents respectifs ne s’étaient pas trompés en les réunissant.
En sortant de la cathédral, Nicolas Illion vit son père s’approcher de lui, d’un pas ferme et déterminé. Une fois devant son fils, il lui annonça que ce dernier serait bientôt chef de famille, et qu’en temps que tel il était en droit de revendiquer la possession de la relique familiale : Une cane d’ébène à la poigné de cuir sertie d’un diamant. Ainsi, la veille de la lune de miel, père et fils se retrouvèrent pour se battre en duel : si Nicolas en sortait vainqueur, il serait officiellement le chef de famille, et par la même occasion le détenteur de la relique familiale. Le duel se termina au bout de deux heures et désigna Nicolas comme étant le vainqueur. En lui remettant la relique, son père lui expliqua qu’en son sein était cachée une lame particulièrement effilée d’environ un mètre. Il s’agissait d’une rapière dissimulée au cœur de l’ébène.
La lune de miel se déroula à la perfection et les époux comprirent que leur bonheur était assuré. Pourtant, une nouvelle fort déplaisante les attendait à leur retour : Illion père était mort dans son sommeil la veille ! Nicolas en fut ébranlé, mais la présence de sa femme et de sa mère lui permit de tenir le coup. Même s’il ne regrettait pas son voyage, il s’en voulait de ne pas avoir été présent pour les derniers instants de feu son père. En revanche, il fut là quand sa mère rendit l’âme trois semaine plus tard. Il en fut tout autant bouleversé mais le notaire le ramena bien vite a la réalité : il était le seul héritier d’une fortune imposante !
Le 13 septembre de cette même année, Illion fut contacté par un de ses vieux amis d’Oxford, un certain William Neil. Celui-ci proposait à Nicolas de participer à un grand projet : la conception de la neuvième édition de l’Encyclopaedia Britannica qui devrait paraître en 1889. Depuis tout jeune, Illion avait été fasciné par les encyclopédies et William le savait. Sans perdre une minute, il accepta. Il allait pouvoir faire parti de ceux qui élaboraient ces ouvrages magiques, sensés renfermer l’intégralité du savoir de l’humanité ! Il fut donc confié au jeune juriste de 31 ans la tache d’amélioré certain article juridique tout en en rédigeant de nouveau.
En mai 1887, Illion fit une découverte fascinante au British Muséum (a l’époque, il y avait aussi une bibliothèque là-bas) : dans un ouvrage, il était question d’un endroit, nommé le Wonderland, Où tout était possible. On aurais pu croire a un simple roman, mais la façon dont l’ensemble était rédiger dévoilait que l’auteur avait réellement été témoin de ce qu’il avançait. Il n’y avait donc que trois possibilité : soit tout ceci était vrai, soit l’auteur était fou et croyait que tout ceci était vrai, soit Illion lui-même était fou de croire que tout ceci semblait vrai. A partir de ce jour, Il voulu en avoir le cœur nette et se mit a la recherche d’information sur ce Wonderland.
Malheureusement, un événement tragique vint le couper dans ses recherche comme dans ses travaux d’encyclopédiste et d’avocats. En effet, le 25 novembre, alors qu’il était en plein procès, un commis ,vint lui annoncer que son domicile avait pris feu. On était parvenu a contenir les flammes puis a les éteindre avant que la bâtisse ne parte en fumé, mais les corps de sa femme et de leur enfant nouveau-né avait été retrouvé, mort. Comme on peu le comprendre, Illion en fut anéantit ! il lui fallut trois mois complet pour se sentir capable de retourner travailler, se basant pendant ce temps sur ses réserves financière pour vivre.
Nous sommes maintenant en 1888, et Illion à repris ses recherche sur le Wonderland et son travaille d’encyclopédiste, abandonnant temporairement son rôle de juriste au barreau londonien. La mort de sa femme et de sa fille l’ont profondément touché, ce qui le pousse a chercher de plus en plus profondément pour découvrir le Wonderland où tout est possible, et pourquoi pas, à terme, de retrouver les être qui lui sont chère.
Particularités : il a déjà quelques connaissance sur le Wonderland et il aura tendance a ne rien souhaiter avant d’avoir analyser le Wonderland en profondeur.
Animal de compagnie : aucun
But / Objectif : d’abord, trouver le Wonderland, puis l’étudier avant de tenter de ramener sa femme et sa fille.
ps : je sais qu'il me manque la description physique, mais je la rajouterais bientot. de plus, je changerais aussi mon avatar quand le physique sera determiné